Ce travail démontre au contraire, chez l’humain, le caractère local de leur apparition au niveau
thalamique, et donc leur capacité à influencer localement des régions corticales précises. Ceci
suggère que des boucles thalamo-corticales peuvent, même au cours du sommeil, fonctionner de
façon relativement indépendante en relation avec leur fonction.
https://doi.org/10.1113/JP279045
Editorial choice https://doi.org/10.1113/JP279720